Wednesday, August 27, 2014

Jacob Ziff Post 1

Bonjour tout le monde! C’est trop cool de lire de toutes vos experiences qui sont vraiment similaires que les miennes. Je suis animateur à une résidence dans Le Grau du Roi (une petite ville dans le sud de la France). Franchement, je ne sais pas comment de commencer d’expliquer mon expérience ici - il y a trop de dire - donc je vais commencer par décrire comment mon confiance en moi-même a été contesté. Je suis sur que vous avez aussi eu une experience similaire pendant vos stages étrangères. 

Je commence avec mon attitude avant que je suis parti pour l’été. Comme la plupart des hommes entre l’age de 18 et 22, j’avais beaucoup de confiance en moi-même. Avec la connaissance de mon succès à l’Université de Michigan ainsi que toutes les amis de ma mère/les mères de mes amis (presque les mêmes) qui disaient que je passerais un été extraordinaire au sud de la France, je me convainquais que je réussirais sans difficultés. Je pensais que j’étais beau, drôle, charmant, et intelligent; qu’est-ce que la pire qui peut passer? C’est intéressant comment vite ces qualités disparaissent quand on est lancé dans une autre culture…

Après avoir eu la meme conversation avec toutes mes tantes/cousins/voisins/ et tout les autre simple connaissances pendant quelques mois (“Oh you’re living in France for the Summer?!…I’m so excited for you!…what will you be doing?…you going to eat a lot of cheese I bet…), je suis finalement parti pour la France a la fin de juin (après avoir pris beaucoup de photos avec ma mere a l’aéroport). Le premier défi d’accomplir dès que je suis arrivé a Charles de Gaulle était de trouver un moyen de voyager de l’aeroport à chez mon pot en Paris. Je n’avais pas cru que ca serait trop difficile, comme j’ai beaucoup étudier la vocabulaire de voyage pendant mes neuf ans de français en école (j’étais toujours fier de souvenir le mot “quai”; ce mot m’a aidé, mais pas assez…). Pourtant, ma premiere expérience en parlant français à un vrai français (pas un prof français qui est habitué à l’accent américain) ne passait pas comment j’aurais pensé. 

Un fois que j’avais débarqué (je traitais ce mot comme “quai”), j’ai suivi les signs pour l’information. Je l’ai trouvé assez facilement, et pendant que j’attendais en ligne, j’ai noté que le homme qui travaillait parlait anglais ainsi que le français. J’attendais quinze minutes, toujours en répétant ce que je dirais à lui, et finalement c’était mon tour de le demander mes questions. Mon confiance était en haut comme je m’approchais le bureau; cependant, quand j’ai ouvert ma bouche pour parler, un bruit qui n’était pas français ni anglais est venu et j’étais tellement choqué et gêné que j’ai complètement arrêté de respirer pour un moment. Ce moment, la durée de vie dans ma tete, est passé et il a souri et disait en anglais, “So you’re looking for transportation to Paris, right?” J’ai vite appris que n’importe de comment prodigieuse sa vocabulaire, on va toujours sembler comme un con si on parle avec un fort accent étranger (spécialement l’accent américain qui est beaucoup plus dur avec les syllables que ce-lui français). 


Il y avait beaucoup de ses moments pendant ma duré ici, trop nombreux de rappeler chacun, mais le moral que j’ai appris est d’accepter qu’on n’est pas toujours assez bien à quelque chose qu’on pensait. If faut qu’on soit patient dans les nouvelles situations, et de ne pas laisser tomber le premier moment où quelque chose passe mal. Ce moral semble cliché, mais franchement c’était ce que j’ai appris pendant ma stage . On doit accepter que parfois on est nul à quelque chose. C’est dur et frustré et je le déteste toujours, mais c’est la réalité et il faut l’accepter si on veut réussir. Ça faisait beaucoup de temps depuis j’étais confortable en parlant français avec les français, meme si j’arrivais deja avec un vocabulaire compréhensif. J’accepte que meme maintenant, après deux mois ici en France, que je ne parle pas très bien, mais je le regarde comme une challenge et quelque chose sur laquelle je peux travailler. Les enfants qui je m’occupe - je vais expliquer mon travail plus tard - souvent me demandent “Pourquoi tu ne parles pas français?” D’abord, ca me blessait, mais maintenant je peux rigoler car je sais que le process prend de temps et que je ne serai pas parfait même après neuf ans dans une class et deux mois dans la culture. 

1 comment:

  1. Jacob-c'est super de lire de toutes tes histoires. Quelle joie pour toi de vivre dans le sud! As-tu des photos?

    ReplyDelete